Quand le souffle du vent
Dans tes cheveux défaits
Se faufile lentement
M’enivrant à jamais
Quand le soleil brûlant
Par ta peau, attiré
Là ou je crois Satan
Aimerait se reposer
Qu’Est-ce que tu me plais
Tu me plais
Jamais, je n’oserais te dire
Que tu me plais
Tu me plais
Tu me plais
Tu me plais, c’est vrai
Quand la vague déferlant
Sur ton corps dénudé
Tu t’offres aux embruns blancs
Qui se battent pour te caresser
Quand ton sourire complice
Devinant mes pensées
Tu m’obliges ce supplice
De voir tes reins cambrés
Qu’Est-ce que tu me plais
Tu me plais
Jamais, je n’oserais te dire
Que tu me plais
Tu me plais
Tu me plais
Tu me plais, c’est vrai
Quand tes mains qui me touchent
Comme pour me guider
Moi qui était prêt à tout
Sauf à te rencontrer
Quand aurais je le courage
Enfin de te l’avouer
Peut être est il plus sage
En moi de garder
Que tu me plais
Qu’Est-ce que tu me plais
Tu me plais
Jamais, je n’oserais te dire
Que tu me plais
Tu me plais
Tu me plais
Tu me plais, c’est vrai