Douceur qui nous métamorphose
Nos cœurs se figent et prennent la pause
A la recherche d’autre chose
Un souffle chaud que rien n’oppose
au soleil
Nos yeux se plissent de volupté
Psyché Eros dans nos pensées
Plaisir des sens décuplés
Plaisir d’amour à volonté
ô soleil, au soleil, oh soleil
Comme des tiges volubiles
Nos corps s’enlacent, se faufilent
En un ultime soubresaut
Les rayons viennent brûler nos peaux
ô soleil, au soleil, oh soleil
Bercé par un souffle léger
Divine plénitude assumée
On fait le vide dans nos pensées
Au grand soleil abandonné
L’envie de vivre et de bien être
N’est pas manque de lucidité
C’est bien au contraire reconnaitre
Que le plaisir, c’est de s’évader
Au soleil, au soleil